25 Juillet : Tenjin matsuri ...
C'est décidé, j'arrête les matsuri.
C'est vraiment trop nul!! Mercredi dernier a eu lieu à Osaka le Tenjin Matsuri; comme j'étais restée sur un mauvais goût des matsuri avec le Gion matsuri, et que là il s'agissait d'un feu d'artifice (réputés excellents au Japon ...), je me suis dit que ça valait le coup. Comme en plus le lendemain je devais partir d'Osaka pour aller chercher ma soeurette à l'aéroport, c'était parfait.
Yuki nous organise un rassemblement, mais nous ne serons que peu nombreux au premier rendez-vous, pour visiter le temple d'Osaka Tenmangu - lié au matsuri. Petite vidéo de l'ambiance :Dans l'enceinte du temple, plein d'étals de vente de bouffe comme d'habitude, et là en plus un stand de danse traditionelle japonaise, assez drôle :
Pour cette première partie de soirée, il y a Yuki et sa maman (ah je m'en veux la photo est floue!), David et sa maman (j'ai pas de photo...), Vanessa (encore une réunionnaise!!), et moi .
On se dirige ensuite très lentement (il y avait un monde fou) vers la station de métro pour aller rejoindre le second point de rendez-vous, pour ceux qui n'avaient pas pu venir plus tôt (Florian et Camille, en fait), et tout près du feu d'artifice.
En chemin, on croise des stands de pèche aux petits poissons rouges ou aux tortues (j'adore ces petites tortues, Romain-de-la-couree elles feraient très bien dans ton aquarium), ou bien d'ancêtre du pachinko ... La version en bois et sans sons et lumière est beaucoup plus mignonne, et les adultes s'en donnent à coeur joie.
Il commence à y avoir vraiment beaucoup beaucoup de monde, et nous nous rendons compte que nous ne serons jamais au rendez-vous à l'heure; en fait, même en partant beaucoup plus tôt on n'y serait jamais arrivés : tous les habitants du kansai semblaient s'être donnés rendez-vous pour assiser au feu d'artifice, les trains et gares étaient complètement bouchés par les hordes de gens (japonais essentiellement, mais aussi quelques touristes se demandant s'ils étaient encore au Japon, ce pays où personne n'ose se toucher ou s'approcher de quelqu'un d'autre). Arrivés à la bonne station, Sakuranomiya, nous sommes bloqués sur le quai : certains ont compris que la meilleure solution était de regarder depuis le quai, entre les immeubles et les trains, les quelques étincelles du feu d'artifice qui avait commencé. On arrive quand même petit à petit à sortir ... mais ça ne change pas grand-chose : dehors, même topo, les rues sont envahies. Des flics essaient de diriger les flux, et grâce à un astucieux système de ... cordes, ils nous empechent d'aller ou on veut (ie quelque part où on pourrait soit voir le hanabi, soit rejoindre Florian et Camille). On suit donc le mouvement, et on arrive finalement à se stopper entre deux immeubles, et à voir (ouf!) quelques feux ... m'enfin en France on a les mêmes, et on n'en fait pas tout un tintamarre pareil!!!
Au bout d'ne bonne demi-heure je dirais, nous décidons de tenter de quitter les lieux pour tous se retrouver au Kangaroo (vous savez, le bar à Osaka dont je vous parle souvent). On marche, on marche, on traverse Osaka en longeant la rivière, et on arrive enfin. Mais là, j'ai oublié de vous parler de l'aventure de Julie, nouvele française à Kyoto qui s'est paumée en venant, ne nous retrouvait pas (normal vu la situation) à Sakuranomiya, qui arrive à Osaka station ou j'essaie de la retrouver, mais elle n'a plus d'argent sur son téléphone, un espèce de vieux japonais à la noix me fait faire tout le tour de la gare pour arrivr à un endroit foireux où Julie n'est pas là, je retourne dans l'autre sens, finalement on se retrouve, toutes les deux à plats et ultra énervées contre les japonais et Osaka (et un peu contre le monde entier, en fait), mais là pas moyen de retrouver mon chemin pour aller au Kangaroo, personne ne connait ce bar, j'appelle Camille, et après encore un bon quart d'heure de prise de tête entre l'underground d'Osaka et ses énormes buildings qui cachent la vue, on le retrouve ...
Bref, encore un matsuri où il n'y a rien à faire ou à voir, et où les japonais se rendent en troupeaux toujours pour la même chose, le "j'y étais!" fondamental, pour parader en yukata, ACHETER des bibelots et de la bouffe dans les stands (après qu'on aille oser me dire que c'est malpoli au Japon de manger en marchant!!!), et se faire chier une soirée (et encore je suis sure que certains étaient là depuis le matin).
Donc voilà c'est décidé, plus de matsuri!!
On se dirige ensuite très lentement (il y avait un monde fou) vers la station de métro pour aller rejoindre le second point de rendez-vous, pour ceux qui n'avaient pas pu venir plus tôt (Florian et Camille, en fait), et tout près du feu d'artifice.
En chemin, on croise des stands de pèche aux petits poissons rouges ou aux tortues (j'adore ces petites tortues, Romain-de-la-couree elles feraient très bien dans ton aquarium), ou bien d'ancêtre du pachinko ... La version en bois et sans sons et lumière est beaucoup plus mignonne, et les adultes s'en donnent à coeur joie.
Il commence à y avoir vraiment beaucoup beaucoup de monde, et nous nous rendons compte que nous ne serons jamais au rendez-vous à l'heure; en fait, même en partant beaucoup plus tôt on n'y serait jamais arrivés : tous les habitants du kansai semblaient s'être donnés rendez-vous pour assiser au feu d'artifice, les trains et gares étaient complètement bouchés par les hordes de gens (japonais essentiellement, mais aussi quelques touristes se demandant s'ils étaient encore au Japon, ce pays où personne n'ose se toucher ou s'approcher de quelqu'un d'autre). Arrivés à la bonne station, Sakuranomiya, nous sommes bloqués sur le quai : certains ont compris que la meilleure solution était de regarder depuis le quai, entre les immeubles et les trains, les quelques étincelles du feu d'artifice qui avait commencé. On arrive quand même petit à petit à sortir ... mais ça ne change pas grand-chose : dehors, même topo, les rues sont envahies. Des flics essaient de diriger les flux, et grâce à un astucieux système de ... cordes, ils nous empechent d'aller ou on veut (ie quelque part où on pourrait soit voir le hanabi, soit rejoindre Florian et Camille). On suit donc le mouvement, et on arrive finalement à se stopper entre deux immeubles, et à voir (ouf!) quelques feux ... m'enfin en France on a les mêmes, et on n'en fait pas tout un tintamarre pareil!!!
Au bout d'ne bonne demi-heure je dirais, nous décidons de tenter de quitter les lieux pour tous se retrouver au Kangaroo (vous savez, le bar à Osaka dont je vous parle souvent). On marche, on marche, on traverse Osaka en longeant la rivière, et on arrive enfin. Mais là, j'ai oublié de vous parler de l'aventure de Julie, nouvele française à Kyoto qui s'est paumée en venant, ne nous retrouvait pas (normal vu la situation) à Sakuranomiya, qui arrive à Osaka station ou j'essaie de la retrouver, mais elle n'a plus d'argent sur son téléphone, un espèce de vieux japonais à la noix me fait faire tout le tour de la gare pour arrivr à un endroit foireux où Julie n'est pas là, je retourne dans l'autre sens, finalement on se retrouve, toutes les deux à plats et ultra énervées contre les japonais et Osaka (et un peu contre le monde entier, en fait), mais là pas moyen de retrouver mon chemin pour aller au Kangaroo, personne ne connait ce bar, j'appelle Camille, et après encore un bon quart d'heure de prise de tête entre l'underground d'Osaka et ses énormes buildings qui cachent la vue, on le retrouve ...
Bref, encore un matsuri où il n'y a rien à faire ou à voir, et où les japonais se rendent en troupeaux toujours pour la même chose, le "j'y étais!" fondamental, pour parader en yukata, ACHETER des bibelots et de la bouffe dans les stands (après qu'on aille oser me dire que c'est malpoli au Japon de manger en marchant!!!), et se faire chier une soirée (et encore je suis sure que certains étaient là depuis le matin).
Donc voilà c'est décidé, plus de matsuri!!
4 commentaires:
Salut, je suis tombé sur ce blog par hasard, et en lisant cet article, je retrouve ce que j'ai moi même vécu à Tokyo, Asakusa, pour la Hanabi du 28.07.2007 ^^ foule pas possible, on ne peut pas avancer, et quand on trouve enfin un endroit... Ben on se fait jarté par les M.Policemen ... Et au final on doit regarder entre deux buildings ... xD
Mais le must de Asakusa, c'est qu'il y avait des projecteurs orientés vers nous, pauvres humains désirant regarder avec attention le Hanabi ... xD
J'espère me rattraper pour le Daimonji de Kyoto !!
Mais bon, pour cela, faut pas que ce soit le 'boxon' (en plus, je suis prét à sortir le Yukata ^_^)
Voili ^^
John, un nouvel arrivant à Kyoto
Salut John! Bienvenue à Kyoto et ... ses géniaux matsuri!!
Bonne chance pour le Daimonji, je serai pas à Kyoto à ce moment-là. Il y a aussi le hanabi à Uji le vendredi 10 prochain ...
ça c'est du dragon qui fume, et ça passe sous la porte!!
Dom'
je cherche, je cherche, mas je ne comprends toujours pas ton commentaire maman ...
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